jeudi 21 août 2008

Où sont-ils donc passés ?

Tranquille la reprise, avec pour seul programme un petit passage rapide à l'hôpital nucléaire pour aller montrer mes fesses et mes morsures de moustique. RAS, mon corps est toujours de rêve et les infirmières aussi fans de moi. La routine.


Et au retour, le cauchemar : pas le moindre petit coup de klaxon dans la rue , pas même une mamie râleuse pour me piquer la place dans le bus. PARIS EST VIDE ! Encore mieux que le désert de Gobi. D'accord, y'a bien encore un ou deux touristes égarés, mais sinon, je vous jure, plus personne. Même les pigeons ont pris la fuite. Alors on fait pareil.


Aucun commentaire: