lundi 25 août 2008

coupe-coupe


Ce matin, en me levant, je me demande ce qu'on peut bien faire quand il pleut. Un coup d'oeil rapide en direction de l'exilée danoise et c'est le déclic.



L'observateur attentif aura détecté que nous partageons un gène commun : Tata Hareng représente pour moi l'élégance de la bouclette. Et qui dit pluie dit frisouille de la tonsure.

En cherchant dans les archives de ma courte vie, aucune trace d'un quelconque coup de ciseau. Ni une ni deux, j'accepte de la suivre chez la coiffeuse de Miss France.






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