lundi 18 août 2008

le sticmou de Paris

De retour, enfin. Ils ont presque failli m'épuiser, les vieux, avec leur manie de déplacer la caravane tous les 4 jours. Enfin du calme dans la bourgade parisienne. Ça change, c'est reposant. Pas un badaud dans la ville.

Vide, enfin presque. Parce qu'il y a une espèce méconnue qui semble avoir remplacé le parisien absent des rues : j'ai nommé l'anophèle sadique. La preuve :


le syndrôme

la cause

le remède


Parce que tout le monde croit qu'ici il n'y a que de vilains parisiens et leurs animaux domestiques. Détrompez-vous : une faune incroyable s'est développée au sein même de la ville, prête à s'attaquer aux plus faibles, c'est à dire moi.

Débordant d'inventivité, mère Anne se met alors en quête d'une parade, qui s'avère au final à mi chemin entre le baldaquin et le filet de pêche. Et de me vendre l'objet comme une invitation au voyage : "n'arrache pas pas la moustiquaire Zoé, elle est si belle. C'est comme si tu vivais en Thaïlande". J'ai hâte de rencontrer un thaï boursouflé comme moi.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

Qu'elle était bien dans sa caravane choletaise et nantaise, là où l'air est pur, sain, au milieu des fleurs et des oiseaux non dévastateurs.