
Vide, enfin presque. Parce qu'il y a une espèce méconnue qui semble avoir remplacé le parisien absent des rues : j'ai nommé l'anophèle sadique. La preuve :

Parce que tout le monde croit qu'ici il n'y a que de vilains parisiens et leurs animaux domestiques. Détrompez-vous : une faune incroyable s'est développée au sein même de la ville, prête à s'attaquer aux plus faibles, c'est à dire moi.
Débordant d'inventivité, mère Anne se met alors en quête d'une parade, qui s'avère au final à mi chemin entre le baldaquin et le filet de pêche. Et de me vendre l'objet comme une invitation au voyage : "n'arrache pas pas la moustiquaire Zoé, elle est si belle. C'est comme si tu vivais en Thaïlande". J'ai hâte de rencontrer un thaï boursouflé comme moi.
Débordant d'inventivité, mère Anne se met alors en quête d'une parade, qui s'avère au final à mi chemin entre le baldaquin et le filet de pêche. Et de me vendre l'objet comme une invitation au voyage : "n'arrache pas pas la moustiquaire Zoé, elle est si belle. C'est comme si tu vivais en Thaïlande". J'ai hâte de rencontrer un thaï boursouflé comme moi.
1 commentaire:
Qu'elle était bien dans sa caravane choletaise et nantaise, là où l'air est pur, sain, au milieu des fleurs et des oiseaux non dévastateurs.
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