Sitôt rentrée de son pèlerinage éthylique et fort béate de me trouver encore épanouie malgré la tutelle de son compagnon, la Reine Mère décida de me faire découvrir une contrée qui l'avait enchantée quelques jours auparavant. Direction une planète mystérieuse aux confins du pays.
Atteindre la destination n'est pas chose aisée, puisque tout parisien qui se respecte décide de prendre le large au même moment, à 13h51 le vendredi. Après 32 lectures de "Petit Ours Brun envoie ses parents en prison", le trajet touche enfin à son but, et là, ô surprise, un énorme marécage en guise d'océan. On repassera pour les Tropiques, la faute à la pleine lune m'assure-t-on. Comble du pompon : un vent force 8 qui ne me permet que des déplacements unidirectionnels.
Il faudra attendre les lendemains pour découvrir les merveilles de ce joli coin de France : des drôles de personnages qui conversent avec un accent incompréhensible et des frites plein la bouche, des touristes ravis de marcher les pieds dans l'eau pour aller croiser un phoque qu'on peut voir dans tous les bons bouquins et les mêmes touristes qui se battent le soir pour croquer des coquillages plein de sable alors qu'ils auraient pu ramener Bibifoc et le faire cuire au barbecue.
Au moins, ça change de la traditionnelle sortie piscine du dimanche matin.
Il faudra attendre les lendemains pour découvrir les merveilles de ce joli coin de France : des drôles de personnages qui conversent avec un accent incompréhensible et des frites plein la bouche, des touristes ravis de marcher les pieds dans l'eau pour aller croiser un phoque qu'on peut voir dans tous les bons bouquins et les mêmes touristes qui se battent le soir pour croquer des coquillages plein de sable alors qu'ils auraient pu ramener Bibifoc et le faire cuire au barbecue.
Au moins, ça change de la traditionnelle sortie piscine du dimanche matin.
1 commentaire:
what a sweet little girl you are Zoe!
Sara
from Haute-Goulaine
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