Un basque + 2 calédoniens = tu dégages fissa et tu te réfugies à Bruxelles.
Et la Belgique, ça a beau être la porte à côté, ça n'est pas toujours facile à comprendre. Je m'explique. Tout commence avec une baston de regards à la sortie du train. A la régulière, top model contre top-model.
Refuge chez la famille la plus proche, amicalement désignée sous le label Frite (ex : cousin Frite). Accueil royal et rencontre d'un familier, dont l'observation devrait m'aider à m'épanouir. De mon point de vue, ça donne ceci.
On file alors direct à Werchter, charmante bourgade flamande qui, seuls les incultes l'ignorent, accueille chaque année un festival de musique de chambre. De la boue, des bières, des belges, des gaufres et des décibels, un vrai programme !
OK, pas d'image. C'était juste pour la frime. Même pas pu poser mes bottes dans la boue, car je devais garder un oeil sur la famille Frite toute entière. Très cool, mais plutôt tendance mou du lever : grasse mat' obligatoire jusqu'à 10h. J'ai jamais pu tenir.
OK, pas d'image. C'était juste pour la frime. Même pas pu poser mes bottes dans la boue, car je devais garder un oeil sur la famille Frite toute entière. Très cool, mais plutôt tendance mou du lever : grasse mat' obligatoire jusqu'à 10h. J'ai jamais pu tenir.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire