dimanche 27 juillet 2008

cahier de vacances


Lectrices et lecteurs - enfin plutôt les 4 fidèles qui restent assidus - je vous propose aujourd'hui non pas une recette, non pas une cascade, non pas un gros plan de mon coude mais bien deux activités qui vous permettront d'occuper vos heures perdues.

Commençons par une chanson douce que me chantait ma maman. Et en suçant ma tétine, je l'ai appris calmement. Défi : retrouver le titre.





Ah non, la vie ne fait pas toujours de cadeaux ! Faisons plus classique avec deux petits jeux visuels.

cherchez Charlie ... à Barcelone

indice pour les nuls et les myopes : un musicien pas encore célèbre se cache près de Charlie, et il est en jaune (désolé pour les daltoniens)

Inédit et beaucoup plus compliqué, un cherchez l'erreur. Bon courage !


vendredi 25 juillet 2008

¡ Tapas, sol y cerveza !



C´est trop bien la Catalogne. Je me sens comme un poisson dans sa soupe ici. C´est un groupuscule de réfugiés économiques qui me permet de profiter de l´ambiance locale, mais surtout de la terrasse - méga classe la terrasse !

Bon, en plus d'un appareil qui prend des photos roses, on a perdu la vidéo de la terrasse. C'est embêtant mais pas critique , il nous reste des photos.



ce qui de mon point de vue, donne ça :



Tapas con 2 mujeres...


... y coneria con un papa


Jouer les globe trotteuses m'amuse. Mais en plus je dois épater la galerie à chacune de mes sorties. Ce jour là, c'était parcours de santé version rock, avec un niveau de difficulté ++ dus aux pieds qui sentent gravitant autour.

lundi 21 juillet 2008

la suite du prologue

Quelques kilomètres à faire, et le faste des caveaux faisait place à la quiétude de la garrigue.
Nous étions accueillis par un hôte de grande qualité, Jean-Marie, un frère qui est aussi un grand oncle (j´ai pas tout compris non plus). Parfait pour 15 h de sieste par jour et une étape du Tour de France.






Idéal aussi pour un stage de pêche a la mouche du ruisseau du Gardon. Une idée simple et funky, mais alors sans le Gardon, 25 degrés en dessous des normales relevées dans mon bassin parisien. Du coup, ça finit comme ça avait commencé : assise à l´ombre en me demandant combien de canards flottants pouvaient bien vivre sur cette vaste étendue.




dimanche 20 juillet 2008

le grand jeu de l´été



Trouvez les 7 différences !

Prologue : Palavas-Montpellier



Pas de période d'observation : ça commence fort avec un weekend nature. Faute de moyens à cause de l'acquisition de bandeaux de mariage Chanel, on a du se rabattre sur ce qui se fait de moins cher en dehors du squat : le camping en caveau. Notons deux avantages majeurs primordiaux : la fraicheur du lieu et la picole à l´oeil. C´est toujours ça de gagné.

note pour les non initiés : la tente du fond me fait office d´abri de fortune pendant ces vacances.



Par bonheur, j´ai pu faufiler ma poussette au sein d´un cocktail de la haute bourgeoisie montpelliéraine pour y glaner quelques petits fours délicieux. Mon ami le grand bébé chauve y célébrait ses épousailles avec une princesse du clan Reboul, très en vue dans la région. Grosse tawa jusqu'à 23h30 sur le dancefloor, j´ai même réussi à épuiser la babysitter.

vendredi 11 juillet 2008

Zoé chonchon

Marre de tout : des dents qui poussent, des fesses qui grattent, des klaxons qui klaxonnent, de l'air qui pue et de mes jouets qui s'évadent. Alors, à mon tour de me faire la malle loin d'ici.

Une petite pause tour de France qui passera par Montpellier, St Hippolyte du Fort, Barcelone, Caracas, Paris (pour faire une recharge de petits pots), Nantes, Bayonne et Bordeaux. Ca devrait aller.

En attendant, j'invite tous les gens de la Terre et d'ailleurs à me laisser des messages et surtout à m'envoyer des cadeaux.

Et pour les impatients, il reste l'Art : une galerie de portraits, toujours en construction et accessible par un simple clic sur le lien '200 jours' à votre droite.

lundi 7 juillet 2008

nothing special




Cherchez Charlie à Bruxelles

Le tour des Sécessionnistes

Un sommet d'indépendantistes au beau milieu de l'appart' en pleines vacances, il fallait y penser.
Un basque + 2 calédoniens = tu dégages fissa et tu te réfugies à Bruxelles.




Et la Belgique, ça a beau être la porte à côté, ça n'est pas toujours facile à comprendre. Je m'explique. Tout commence avec une baston de regards à la sortie du train. A la régulière, top model contre top-model.



Refuge chez la famille la plus proche, amicalement désignée sous le label Frite (ex : cousin Frite). Accueil royal et rencontre d'un familier, dont l'observation devrait m'aider à m'épanouir. De mon point de vue, ça donne ceci.


On file alors direct à Werchter, charmante bourgade flamande qui, seuls les incultes l'ignorent, accueille chaque année un festival de musique de chambre. De la boue, des bières, des belges, des gaufres et des décibels, un vrai programme !



OK, pas d'image. C'était juste pour la frime. Même pas pu poser mes bottes dans la boue, car je devais garder un oeil sur la famille Frite toute entière. Très cool, mais plutôt tendance mou du lever : grasse mat' obligatoire jusqu'à 10h. J'ai jamais pu tenir.


mardi 1 juillet 2008

Hippie chic


Que fait bébé lambda lorsque tombe la nuit ? Il dort

Et que fait Zoé au lieu d'être dans son lit ?
Elle boit des mousses le long d'un canal avec une bande de hippies.

Le monde a bien changé

j'ai rencontré un homme orchestre


Je l'ai (re)trouvé au coin de la rue, après l'avoir aperçu plus tôt dans mes aventures. Il vient d'un pays lointain où nul n'ose aller. Personne ne connaît son âge. Il a décidé depuis peu de consacrer sa vie à l'éducation des masses de bambins, armé d'un simple bâton de réglisse et accompagné d'une princesse volée aux seigneurs normands. Il se nomme Thomas, je l'appelle Frisouille. Mais attention, Frisouille n'est pas une nouille mais bien un être attachant et atypique. Une sorte de Spinoza croisé cirque Pinder qui aurait fait ses classes au Slouvékistan.




De l'Etat du Moi ....
... à l'état de folie